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 the last chance.

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MessageSujet: the last chance.   the last chance. EmptyMer 13 Avr - 16:33

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Je regardais le parchemin vierge, avec un air de défi. A vrai dire, la regarder, c’était tout ce que j’étais parvenue à produire depuis une bonne heure, à mon plus grand regret. Ma plume, aiguisée avec soin, était prête à être plongée dans de l’encre bien fraiche, pour la rédaction de mon devoir d’Astronomie. Mais le cœur n’y était pas, je ne parvenais à rien. J’étais bloquée, et surtout parfaitement incapable de bouger, ou même d’écrire quoi que ce soit. Lorsque mes yeux parvinrent à se décrocher du parchemin vide, je remarquais avec etonement que la salle commune des Ravenclaw, vide lorsque j'avais commencé à être bloquée sur mon papier, était à présent bondée, et pourtant, toujours aussi silencieuse. Supportant ma tête à l'aide de mon bras, je laissais à présent mon regard vagabonder de droite à gauche, observant au passage les pratiques de certains élèves. Les cours venaient tout juste de se terminer, alors, en bon Ravenclaw qu'ils étaient tous, ils se rejoignaient dans cette salle commune, ou à la bibliothèque, pour pouvoir faire leurs devoirs. Eux, Je dis bien eux, et pas nous, parce que j'avais de plus en plus a sensation de n'avoir rien à faire dans cette maison, de ne pas vraiment être des leurs.Dans un certain sens, j'étais jalouse. Oui, jalouse. Moi, la blonde fragile avec d'énormes difficultés à se concentrer, je les enviais, eux, les élèves calmes et réfléchis de ma maison, qui parvenaient à boucler leurs devoirs en quelques heures, sans rechigner.

A force, je commençais à avoir l'habitude, après toute ses années passées à les regarder travailler, au lieu de moi-même, me mettre au travail. Évidemment, dans certaines matières, j'étais une élève modèle. Métamorphose, potion, et j'en passe. Mais parfois.. Ça ne passait pas, voilà tout. « C’est votre dernière chance Mademoiselle Heathcliff ! » C’était cette phrase qui résonnait encore et toujours dans mon cerveau, sans que je puisse la faire taire. Cette petite voix n’était autre que celle de mon professeur d’Astronomie, cet homme que je haissais presque autant que la matière qu’il enseignait. Les étoiles me dégoûtaient. Et tout ça à cause des idioties qu'on m'avait raconté lorsque j'étais gamine. « Une étoile veille sur toi, mon ange ». Voilà comment on avait bercé mon enfance. Mais où étaient passées les étoiles lorsque mon père était mort dans un débile accident de voiture? Étais-je toujours un petit ange protégé par les étoiles lorsque ma mère avait décidé de se terrer dans son chagrin, en n'adressant la parole qu'à de rares personne, dont je ne faisais pas vraiment partie? La réponse était non. NON. On m'avait menti. Et maintenant, rien qu'à lever les yeux vers le ciel, lorsque celui-ci est rempli d'étoiles, je ne peux pas m'empêcher d'éprouver, au mieux, une haine infinie envers ses boules brillantes parfaitement inutiles, ou au pire, je n'arrive pas à arrêter mes larmes, en repensant à ce que le destin m'a pris. Très philosophiques les cours d'Astronomie, avec mon histoire, vous ne trouvez pas?

A mesure que la pièce se vidait, mes paupières se faisaient de plus en plus lourdes. Ils étaient tous parti dîner, ou étaient déjà revenus, et moi, je ne pouvais pas me résigner à abandonner mon parchemin pour aller manger, car je mourrais d'envie de le remplir, sauf que je ne savais pas du tout ce que je pouvais mettre. Je rêvassais tellement durant les cours d'Astronomie que le sujet m'était parfaitement inconnu. C'était d'ailleurs à cause de ça que ce professeur me donnait un ultime devoir de rattrapage, qui cette fois était censé être "la dernière chance". Riant jaune, je saisis ma plume, la trempai dans l'encre, et inscrivait "Devoir de la dernière chance" sur mon parchemin, avant de reposer ma plume aussi sec. Des heures entières étaient parvenues à me filer sous le nez sans que j'ai assez de courage pour m'en apercevoir. La salle était presque vide à présent. Quatre ou cinq élèves discutaient encore tranquillement dans un coin, en ce bon vieux vendredi soir. J'étais prête à parier ma baguette qu'ils discutaient de l'attaque de cette Primprenelle, qui avait fait le tour de tout le château. La rumeur parlait d'un héritier, et Poudlard frémissait, en ne pensant plus qu'à ça. J'avais peur en quelques sortes. Mais je n'étais pas assez idiote pour le crier sur tout les toits. De plus en plus; mon corps réclamait du sommeil, que je ne pouvais pas lui accorder avant d'avoir commencé mon devoir. Pourtant, je n'en avais aucune envie. Merlin ce que je pouvais être têtue.. Cette fois, mes yeux se fermèrent vraiment, sans que je puisse les en empêcher. A quoi bon résister? Je n'y pouvais rien.. Et puis ce fichu devoir pouvait bien attendre...

*Salle commune des Ravenclaw? Nope. Prairie-étrange-qui-sent-bon-les-pâquerettes? Yep.« Un éléphant rose! » Ma propre voix. Oups. Ai-je vraiment dit ça? Un éléphant? Où ça? Impossible. Pourtant si. Je ne peux pas l'ignorer. Posté devant moi, il fait un bruit d'enfer. Et la seule chose que je trouve à faire, c'est de rire comme une enfant, en me mettant à tourbillonner sur moi même. A bien y réfléchir, les grondements de l'éléphant deviennent une douce mélodie, jouée par un piano visiblement invisible. Quelqu'un s'approche de moi par derrière, je sens son odeur divine. On me prend par la taille. C'est Malfoy, avec un sourire aux lèvres. Merde. Qu'est-ce qu'il fait là, lui? Il se met à danser avec moi, et on tourbillonne ensemble, en parfaite harmonie.
Sans le vouloir, je chute, et me retrouve dans un étain marécageux. Beuark. Lorsque je sors la tête de l'eau, la jolie prairie, l'éléphant, la musique, et surtout Gawain, ont disparu. La lune est immense, les étoiles me narguent. Je suis trempée. Quelque chose se faufile sur le sol. Un serpent. Sans que j'ai le temps de réagir, il plante ses crocs dans mon coup, et j'ai juste le temps d'apercevoir ses yeux jaunes luisants avant de..*


... pousser un cri? « AH! » Me relevant d'un coup, j'ouvris les yeux sur une salle commune parfaitement déserte, illuminée par les premiers rayons du soleil. Il devait être six ou sept heures du matin, à peine. Ironiquement, le titre que j'avais donné à mon parchemin s'était inscrit sur ma joue droite, puisque j'avais littéralement dormi dessus, faute d'avoir rejoint mon dortoir lorsque la fatigue m'avait prise. J'étais maintenant ornée d'un "Devoir de la dernière chance". Merveilleux. D'un air ravagé par l'envie de dormir à nouveau, je pris la résolution d'aller prendre une bonne douche bien froide, qui me remit le peu de neurones que j'avais en place. Ce fut vers huit heures, toute préparée et prête à aller déjeuner, que je me décidais à sortir de ma confortable salle de bain. Descendant les marches de la tour pour rejoindre le rez-de-chaussée, ou se trouvais la Grande Salle, je remarquais la présence d'un garçon, qui se dirigeait lui vers la volière. Gwaine. L'homme qui aurait pu sauver mon devoir d'Astronomie, visiblement destiné à couler. Pour des raisons étranges, je n'avais même pas daigné lui demandé de l'aide, alors que le professeur me l'avait vivement conseillé. Je ne pouvais pas... « Oh, et puis tant pis! J'y vais quand même. » Aller où? Lui demander de l'aide, tout simplement. J'entendis mon ventre grouiller, réclament le dîner qu'il n'avait pas eu hier, et le déjeuner qu'il n'aurait pas ce matin. Je ne pouvais pas ignorer que c'était ma seule et unique chance de réussir mon devoir d'Astronomie.. Mon estomac attendrait donc!

Comme une idiote, alors qu'il se dirigeait vers la volière, je me mis à le suivre. Qu'allais-je bien pouvoir lui dire? Que j'étais tellement désespérée que j'avais besoin de demander de l'aide à un inconnu -pas si inconnu que ça d’ailleurs- . J'avais à présent monté les marches, suivant ses traces. Aucune lettre à la main, je ne pouvais pas faire mon innocente et faire semblant d'être venue envoyer quelque chose. Oups. Arrivant derrière lui, qui s'affairait à envoyer une lettre, je lui tapotais doucement l'épaule, le faisant au passage sursauter. « Pardon.. J'ai surement du t'effrayer, j'en suis désolée. » Passe pour une idiote, excuse toi deux fois.. « A vrai dire, ma requête est idiote. C'est tout simplement le professeur d'Astronomie qui m'envoie.. Il.. Il m'a dit que tu pourrais m'aider, pour mon devoir. » lui avouais-je alors, peu sure de moi. J'étais cependant certaine qu'il m'enverrait bouler, après tous ces jours que j'avais passé à le regarder étrangement.. La ressemblance physique était vraiment frappante...

    Spoiler:
Candyce O. Heathcliff
HOMINUM REVELIO !
Candyce O. Heathcliff

Cinquième année


Féminin
PARCHEMINS ENVOYES : 401
DATE D'INSCRIPTION : 22/03/2011
ÂGE DU PERSONNAGE : 29
FRIANDISE PREFERE : Sucre d'orge.
PATRONUS : Une antilope.
HUMEUR DU JOUR : Rêveuse.

LA PENSINE DE TON COEUR.
- RELATIONSHIPS WITH EVERYBODY:
- SECRETS ABOUT YOUR PAST:


the last chance. Vide
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MessageSujet: Re: the last chance.   the last chance. EmptyMer 13 Avr - 19:38

    The difference between what you say and what you do.


N’importe qui connaissant un tant soit peu la famille – et en particulier les deux jeunes frères – Mercury pouvait témoigner de la différence énorme de tempérament qui la composait. Même si, en y réfléchissant bien, c’était principalement Gwaine qui brisait totalement l’harmonie qui régnait dans leur demeure de Londres. Trop tolérant, trop rêveur, trop curieux. Ou trop faible, trop illuminé, trop fouineur. Selon le point de vue. Car le reste des Mercury étaient tous quasiment sortis du même moule. Sectaires, orgueilleux, froids. Pas la meilleure ambiance pour une enfant en quête d’évasion. Pourtant, malgré l’opposition radicale aussi flagrante que les trois petites années qui les séparaient, Gwaine et son aîné étaient incroyablement liés. Non pas comme des meilleurs amis, ni même comme de simples camarades. Mais comme des frères. Indéniablement, ils étaient liés comme des frères. Le jeune Hufflepuff aurait lui-même eut du mal à dire pourquoi il tenait autant à lui. Ils n’avaient rien en commun, et dans une autre vie, ils se seraient sans doute détestés. Mais l’amour a-t-il besoin d’une explication qui tienne la route ?
Les brindilles et les feuilles précocement tombées que la légère brise de septembre avait déposées là craquaient sous ses pieds. Il aurait put se presser, histoire que la lettre qu’il s’apprêtait à envoyer ne le prive pas totalement de petit déjeuner, mais il avait l’habitude d’attendre que le plus gros des élèves ait déjà branché son cerveau sur le mode cours pour pouvoir aller manger. Non pas qu’il avait du mal avec les trop grosses foules, mais il n’était pas vraiment de ceux que l’on pouvait qualifier « du matin ». Le bruit et les cris dès les premières lueurs de sa journée, très peu pour lui. Il avait, comme qui dirait, besoin de temps pour émerger. A contrario, traîner tard en soirée ne lui posait aucun problème. Plus encore, le soir, si pas la nuit, était le moment de la journée qu’il préférait. Philosophe et rêveur de nature, c’était dans ces moments-là qu’il pouvait le plus réfléchir. Ou simplement penser. Lorsque la plupart des élèves, fatigués, se calmaient enfin après une journée un peu trop chargée. Peu de gens comprenaient cette partie de lui. Le lui qui était hors de lui. Ailleurs. Partout. Là où son esprit le guidait. L’une des seules personnes à trouver cela normal, c’était Arabella. Car elle le vivait à plein temps. Totalement déconnectée, la jeune fille parvenait à comprendre ce qu’il disait – ou ne disait pas – en moins d’une seconde. C’en était saisissant, à quel point leurs conversations pouvaient être démentielles, parfois. Et la personne la moins susceptible de le comprendre lorsqu’il songeait, c’était bien son frère. Alors évidemment, le jeune homme se gardait bien de se mettre à exposer sa trop grande imagination dans ses lettres. À la place, ils pouvaient parler de tout et de n’importe quoi. Les rumeurs qui courraient à Hogwarts, la dernière crise de nerf de papa, leurs divergences d’opinions, sur à peu près chaque sujet qu’ils abordaient. Arrivé au pied de la tour, le brun fourra ses mains dans les poches de son pantalon d’uniforme noir, et grimpa rapidement les marches qui séparaient le sol de l’immense salle où reposaient des centaines de chouettes et de hiboux en tous genres. Il jeta un regard circulaire autour de la pièce, avant de croiser le regard d’une chouette hulotte aux yeux vairons. Il sourit, s’approcha d’elle, en sortant de sa poche un morceau de parchemin plié en deux sur lequel étaient griffonnés les mots qu’il adressait à son frère. C’était ce qui l’avait finalement convaincu d’acheter cette chouette en particulier. Ses yeux. Avant de confier la missive à sa chouette, Sarahyan, il la déplia, la relut lentement.

Cher Barthélémy,
Si tu te trouvais à côté de moi en ce moment précis, tu pourrais m’entendre soupirer. Tu sais ce que je pense de papa et de ses tendances pro sang pur, et du fait que tu suives sa trace. Je ne comprends pas trop que vous puissiez considérer les nés-moldus comme des êtres impurs. Tu sais que les moldus n’ont pas connaissance du monde de la magie, alors votre discours comme quoi les nés-moldus seraient des voleurs de sorcellerie est totalement stupide, étant donné qu’avant de recevoir leur lettre, ils ne
savent pas que la magie existe.
L’ambiance au château, ces temps-ci, est vraiment affreuse, et le moral de tout le monde est redescendu d’un cran encore. Ce qui est arrivé à Pimprenelle… Heureusement, elle est réveillée à présent. Qui sait, peut-être pourra-t-elle nous dire ce qui est arrivé. Même si j’en doute. En attendant, l’auteur de cette agression reste à ce jour impuni. Tu devrais voir les Slytherins – soit dit sans vouloir te vexer – en ce moment, on leur aurait annoncé que les Gryffindors sont leurs esclaves à vie qu’ils n’auraient pas été moins heureux.
Bref, et toi, comment vas-tu ? Et papa, et maman ? Ce travail, dont tu m’as parlé, comment cela se passe-t-il ?
J’attends de tes nouvelles avec impatience,
Ton frère qui pense à toi,
Gwaine.


Il soupira imperceptiblement, replia sa lettre, l’accrocha à la patte du volatile. Et sursauta.
Il se retourna vivement, après qu’une main inconnue ne lui tapote l’épaule. Devant lui se tenait une fille blonde, d’apparence plus jeune que lui, qui arborait l’écusson de Ravenclaw. Il la fixa un instant, le temps que son cœur recommence à battre. Il s’était cru seul, et fut stupéfait de son manque flagrant d’attention aux alentours. Il ne l’avait même pas entendu entrer après lui. Ou peut-être était-elle déjà là lorsqu’il était arrivé ? Dans ce cas, il était encore plus distrait que ce qu’il ne pensait. « Pardon. J’ai sûrement dû t’effrayer, j’en suis désolée. (…) À vrai dire, ma requête est idiote. C’est tout simplement le professeur d’Astronomie qui m’envoie. Il… Il m’a dit que tu pourrais m’aider. Pour mon devoir. » Elle semblait presque dépitée de la situation. Abasourdi, il fallut quelques secondes au garçon pour reprendre ses esprits. « Euh… » Maintenant qu’il y regardait de plus près, il reconnaissait la jeune fille. Il l’avait déjà croisé plusieurs fois, et elle l’avait marqué par le regard peu amène qu’elle lui jetait à chaque fois. Il ne s’intéressait pas assez aux inconnus que pour mener une enquête afin de découvrir ce qu’elle pouvait bien avoir contre lui, mais il devait bien avouer qu’il restait curieux. Qu’est-ce que cette fille pouvait-elle donc bien lui reprocher à ce point ? Ils ne se connaissaient ni d’Éve, ni d’Adam… « Enchanté de te connaître également » se borna-t-il à répondre. « Pourquoi est-ce que ce cher prof d’Astronomie t’envoie me demander ça à moi, au lieu de t’aider lui-même ? » Bonjour, je ne suis pas du matin. Bon. On n’y arriverait pas comme ça. La lettre toujours en main, le bras toujours levé, il tenta de se montrer diplomate. « … Désolé. C’est sur quoi ton devoir ? » demanda-t-il finalement, tentant un sourire.




(1157 mots. 10 Ajoutés)
Gwaine R. Mercury
HOMINUM REVELIO !
Gwaine R. Mercury

ϟ PREFET.
septième année


Féminin
PARCHEMINS ENVOYES : 58
DATE D'INSCRIPTION : 07/04/2011
ÂGE DU PERSONNAGE : 29
FRIANDISE PREFERE : fizwizbiz.
PATRONUS : une lionne.
HUMEUR DU JOUR : plaisantin.

LA PENSINE DE TON COEUR.
- RELATIONSHIPS WITH EVERYBODY:
- SECRETS ABOUT YOUR PAST:


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