Londubat
Louise Augusta

16 ans ϟ Sixième année ϟ Sang mêlée ϟ Impartiaux
ft. Emma Roberts



« citation qui résumerait votre personnage »

b a r è m e ; ambitieux : ••••• romantique : ••••• sportif : ••••• généreux : ••••• franc : ••••• sérieux : •••••

p o r t a i t---c h i n o i s ; une fleur : un animal : une saison : un mot : un fruit : un vêtement :

a d j e c t i f s---q u a l i f i c a t i f s ;
Qualité ϟ Qualité ϟ Qualité ϟ Qualité
Défaut ϟ Défaut ϟ Défaut ϟ Défaut

q c m ;

1^ère question : Alors que vous marchez tranquillement dans les couloirs déserts en direction de votre salle commune, voilà qu'une ombre se découpe sur les murs, effrayante et appartenant sans aucun doute à une créature venue des tréfonds des ténèbres pour vous enlever. Que faites-vous ?

a. Malgré vos frissons, vous vous approchez calmement de l'angle du couloir et découvrez face à vous la chatte de Rusard. Ouf, sauvé.
b. Il s'agit certainement d'un élève voulant vous faire une mauvaise farce. vous revenez sur vos pas.
c. Vous restez statique, les bras croisés. Lorsque cette chose approchera, vous pourrez apercevoir son visage : l'élève responsable de cette mascarade n'aura pas assez de sa scolarité pour payer le prix de cette frayeur.
d. Enfin un peu d'action! Sûr de votre force et désireux d'accéder à la gloire, vous voilà vous précipitant vers cette ombre menaçante.

2^ème question : Dans le parc, tout est calme. Les oiseaux chantent, le soleil brille... Et Miranda Keller arrive en courant vers vous, en larmes : son petit ami a mis fin à leur relation parce qu'il était subitement tombé amoureux d'une autre fille, à ce qu'il lui a dit. Vous soupçonnez le pauvre garçon de ne plus supporter ce pot-de-colle plus bavard qu'un perroquet. Que faites-vous ?

a. Vous la prenez dans vos bras et l'amenez à votre salle commune afin qu'elle se calme devant une bonne chocogrenouille.
b. Ni une ni deux, vous vous précipitez vers le garçon en question pour lui demander des comptes: on ne fait pas pleurer une fille!
c. Vous écoutez sérieusement ses propos entrecoupés de larmes en affirmant que son petit ami est un vrai crétin.
d. Vous affichez une mine faussement compatissante et lui avouez qu'il fallait le comprendre, le pauvre: elle était réellement invivable.

3^ème question : Catastrophe! Vous avez complètement oublié de faire les 3 rouleaux de parchemins demandés par le professeur de métamorphose et le cours est dans moins de vingt minutes. Que faites-vous ?

a. Aux grands maux les grands remèdes: vous retroussez vos manches et vous vous y mettez, quitte à vous donner un mal de tête à se cogner la tête contre les murs.
b. Bah, vous agissez comme d'habitude, vous prenez le devoir d'un autre élève et lui faites un regard éloquent qui stoppe ses cris.
c. Les mains dans les poches, vous allez en cours avec un sourire et déclarez au professeur que vous auriez aimé le faire, mais que les circonstances ont joué contre vous.
d. Vous allez en début de cours dire à votre professeur que vous avez oublié. Peut-être allègera-t-elle la punition.

4^ème question : Voldemort en personne frappe à votre porte (enfin... lui jette un sort de destruction, mais à quelques différences près...) et vous demande de faire partie de ses fidèles étant donné votre énorme potentiel magique. Que faites-vous ?

a. L'idée d'être reconnu pour vos capacités vous fait hésiter: pourquoi ne pas accepter? Mais vous vous rendez compte que ce serait trahir vos amis et vos proches.
b. Le grand maître des ténèbres en personne devant votre porte? (enfin, ce qu'il en reste, mais c'est Voldemort, tout de même!) C'est un oui, évidemment.
c. Voldemort, ici? A l'attaque!
d. Vous ne faites pas attention à sa proposition, réfléchissant à la façon dont vous allez bien pouvoir remplacer votre pauvre porte.

5^ème question : C'est l'heure de votre cours de Sortilège et vous êtes très en retard. Vous courrez dans les couloirs déserts lorsque vous entendez un cri. Un élève git par terre, sans doute inconscient. Que faites-vous ?

a. Vous vous élancez dans le couloir à la recherche de l'individu responsable de l'état de cet élève.
b. Aider ce microbe? Et puis quoi encore?
c. Il faudrait appeler un professeur, mais vous ne pouvez laisser l'élève seul. En désespoir de cause, vous lui donnez de petites tapes sur les joues.
d. Vous écoutez rapidement son pouls et constatez qu'il n'est pas en danger. Vous courrez chercher le professeur: la salle de cours n'est plus très loin.

l e---p o u r q u o i---d u---c o m m e n t ;

Il était une fois. Toute les histoires commencent de la même façon. Peu importe nos origines, peu importe notre langue, peu importe notre sang, peu importe l'histoire, elles commencent de la même façon. La mienne commence avec mes parents. Mon père, Neville Londubat. Un homme courageux, un héro. Il s'est toujours battu pour ses convictions, même aujourd'hui, il se bat encore. Mon père fait partie de ceux qui continue à croire, à espérer et à se battre pour qu'un jour, nous puissions vivre la vie que nous méritions, sans avoir à se cacher de ce que nous sommes. Mon père se bat pour deux, parce que ma mère n'en a pas la force. Ma mère s'appelle Hannah, Hannah Habbot, de son nom de jeune fille. Lorsqu'elle avait mon âge, elle a perdu sa mère. C'est à cette époque qu'elle a tourné le dos à la magie, qu'elle a arrêté de se battre. Mais il y a eut mon père. Il fait naître en elle cette étincelle, cet espoir qu'elle n'osait plus espérer. Quand je surprend ma mère regarder mon père, il y a plus que de l'amour. C'est de la fierté. C'est indescriptible. C'est magnifique. Mes parents ont perdus beaucoup de personnes auxquelles ils tenaient, comme tout le monde. Il n'y a pas de méchant, pas de gentil, pas de noir ou de blanc. Juste du gris, mais toujours nuancé, légèrement plus claire, plus foncé. Juste des personnes capable de tous pour atteindre leur but, même s'il s'agit d'éliminer des personnes sur leur passage. Mon père a choisit le bon côté, celui qui est juste. Ma mère a fait son propre choix, ma mère est une héroïne, à sa manière. Ma mère ne fait rien, on la considère comme impartiale. Ma mère est la gérante du Chaudron Baveur, elle entend beaucoup de choses, elle voit beaucoup de choses, elle donne à la résistance beaucoup d'information. On ne peut pas être neutre, pas totalement. Je suis impartiale, mes actes le sont, mais mon cœur bat pour la résistance.

d e r r i è r e--- l ' é c r a n ;
pseudo/prénom :
âge :
comment avez-vous connu D. et votre avis :
petit mot magique :
"vis ma vie" fait : xxx mots
dernier mot pour la fin :

Louise est installée sur une balançoire, elle même suspendue à un gros arbre. Son père est à quelques pas d'elle, s'occupant de ses plantes. Un sourire aux lèvres Louise le regarde, elle l'observe, admirative et fière. Ses pieds nus effleurent à peine le sol, ils caressent les brindilles, ils se balancent dans le vide, sans pour autant donner du mouvement à la balançoire. C'est une belle journée d'été. Une journée comme elle les aime. Elle finit par se laisser glisser de la balançoire. rejoignant le sol, elle s'avance joyeusement vers son père, prenant bien soin de nouer ses mains derrière son dos afin de ne pas faire la moindre bêtise. Elle emprunte un des sentiers du jardin, sans se soucier de la boue humide dans laquelle elle marche, ni même des épines qui, en cours de route, se sont accrochées à sa robe. Elle s'avance vers son père, se penche doucement pour observer son travail. Neville se tourne et offre un sourire à sa fille avant de se concentrer à nouveau sur la plante. A moins que... Non. Louise. Il se tourne vivement vers elle. Les paupières du jeune père papillonnent, alors que sa fille sourit fièrement en lui annonçant. J'ai pas fais de bêtises. Les mains se soulèvent pour prouver ses dires. Neville abandonne presque aussitôt sa tâche, observant sur toutes ses coutures sa fille et les quelques dégâts occasionnés. Non, non, aucune bêtise. Même que tu ne diras rien à maman. Murmure-t-il, soulevant la fillette à bout de bras pour retourner à l'intérieur. Il soupire, posant sa miss catastrophe contre la baignoire. Tu es prête? 1 2 3 Reparo. D'un coup de baguette, la robe de la petite Louise est comme neuve. Celle-ci rit gaiement, frappant dans ses mains pour applaudir la performance son père. NEVILLE ALGIE LONDUBAT Interloqué par le cri de sa femme, Neville s'empresse de prendre Louise dans ses bras pour la rejoindre. Lorsqu'il arrive dans le hall d'entrée, il découvre une Hannah trempée et boueuse, tenant les vestige d'un tuyaux d'arrosage -Un appareil de jardinage moldu dont Neville voulait absolument se servir-. Neville ouvre la bouche et la referme aussitôt en voyant l'air furieux de sa femme? Louise, elle, plaque ses mains sur sa bouche. Maman a fait une bêtise. Non, pas maman. PAPA a fait une bêtise. précisa Hannah en brandissant le reste de tuyaux que Neville avait probablement oublié de coupé par mégarde. Tel père, telle fille. Les chiens ne font pas des chats.

Les mains et le visage écrasés contre la vitre glacée, Louise regarde la pluie qui s'abat sur le jardin. Elle soupire. A genou contre l'appui de fenêtre, elle s'ennuie et tourne en rond. Il n'y a rien à faire quand il fait mauvais dehors. Pourquoi est-ce que je ne peux pas aller chez Lucy? Finit-elle par demander, boudeuse. Elle s’assied, les fesses contre ses pieds. Elle soupire, encore. Arrêtes, tu vas finir par être toute dégonglée et flagada. Si j'arrête, je pourrais aller chez Lucy? Le rire de son père. Il pose sa main sur son crane pour mettre sa chevelure en pagaille. Mademoiselle Londubat, vous voulez un hamburger, oui ou non? Maman a dit non. Maman n'est pas obligé de le savoir. Malheureusement, lorsque Neville et Louise entreprenait de tel projet, Hannah finissait toujours par le savoir. Il faut dire que ni l'un ni l'autre n'était très bon pour masquer leur enthousiasme... Encore moins leurs éventuelles maladresses. Mais cela suffit à convaincre Louise. Elle descendit de son perchoir pour s'installer sur une chaise haute dans la cuisine. Les londubat vivait dans un quartier de Londres typiquement moldu, non loin du chemin de traverses, mais loin suffisamment pour avoir un petit jardin -qui était devenu plutôt imposant grâce à la magie-. Ils avaient donc une cuisine moldue, dont ils ne se servaient que très peu, puisque qu'Hannah était la seule à pouvoir faire fonctionner correctement les différents robots ménagés. Dans une tentative lamentable de faire fonctionné le micro-onde, Neville fit explosé les fusibles électriques-encore une invention moldue-. Papa? Le silence et l’obscurité. Je peux aller chez Lucy maintenant? Un raclement de gorge. Attrape ta veste... Louise et Lucy était meilleure amie depuis toujours. Louise passait d'ailleurs beaucoup de temps dans le clan Weasley, si bien que pour tous, elle était devenue un membre de la famille. Louise adorait cette sensation d'appartenance. Elle n'avait pas eut la chance de connaître sa propre famille, que ce soit du côté Londubat ou Abbot, ses grands parents avaient tous été victime du mauvais sort qui s'abattait sur le monde de la magie.

Louise Augusta Londubat? La silhouette encapuchonnée fit un pas à l'intérieur du domicile familiale, repoussant Neville d'un mouvement brusque de l'épaule. Hannah vit le poing de son mari se refermer sur le pan de son pantalon. Oui, C'est elle. Elle déposa délicatement sa main sur l'épaule de son mari, elle lui sourit et d'un mouvement imperceptible, lui indiqua l'autre pièce. Un grognement s'extirpa des lèvres de Neville. Il laissa un regard sombre au Mangemort qui était venu chercher sa fille, refusant d’obéir à la supplication silencieuse de sa femme, il resta sur le pas de la porte. Louise, intimidée s'était instinctivement reculée. Hannah lui sourit. Neville et Louise était fusionnelle, elle avait sentit sa fille se crisper au même moment que son père. Soucieuse que tout se passe au mieux, Hannah pris son manteau et tendit le sien à Louis pour suivre le Mangemort. Ils avaient reçu la lettre de Poudlard quelques jours auparavant. Les lettres n'étaient plus reçues avec autant de joie qu'autrefois. Les courses de début d'année n'étaient plus aussi emprunte à l’enthousiasme depuis qu'elles étaient faites en compagnie des mangemorts. Hannah dépose un baiser sur la joue de son mari et Louise l’imita. Neville saisit le mangemort par le pan de sa cape. Tu touche à un seul de leur cheveux Zabini... L'homme rit, se dégageant de l'éteinte du sorcier. Tu n'es pas en position de me menacer, Londubat. Lançant un regard à sa fille, il vit la terreur dans son regard. Il fit un pas en arrière, laissant le dit Zabini rejoindre sa femme et ses famille. Ils les laissa s'éloigner, la rage au ventre, les poings crispés. Comment pouvait-il laissé Louise partir à Poudlard?

Cher Journal,

C'est bizarre, Poudlard est exactement comme mon père me l'avait dit et pourtant, si différent. La magie noire et le temps l'ont changé. Il y a plus de règle de restriction que je ne l'aurais cru. Les mangemorts sont partout. C'est comme s'ils voulaient faire de nous de braves petits soldats, comme s'ils croyaient qu'il n'y avait plus personne pour se battre, au nom de la liberté. Mais Poudlard doit être plus que cela, Poudlard sera plus que ça, parce que nous sommes ensemble et au fond, c'est tout ce qui compte. J'ai été envoyée à Poufsouffle, avec Lucy et Louis. Les trois L Puis surtout, j'ai été envoyé à Poufsouffle, comme ma mère avant moi. Mon père, lui était à Gryffondor. Je ne pense pas qu'il y ai de bonne ou de mauvaise maison... Simplement LA maison, celle à laquelle on appartient réellement, au plus profond de nous même. Je suis donc une Poufsouffle. Peu importe, de toute façon, cela ne change rien, à moins d'être à Serpentard... Les élèves de cette maison ont beaucoup plus davantage que les autres. Je trouve cela un peu ridicule, une maison ne devrait pas définir de façon aussi stéréotypée qui tu es... Ce n'est pas parce qu'une personne est envoyée à Serpentard qu'elle est forcément mauvaise... Peut-être que je suis juste trop naïve. J'ai hâte que les cours ne commencent pour pouvoir enfin me servir de ma baguette. Être dans une école de magie et ne pas pouvoir s'en servir, c'est dommage. A croire qu'ils ont peur de ce que l'on pourrait faire avec une baguette. Il y a plein de chose ridicule, de règle qui ne servent à rien. Mon père m'a dit un jour que la meilleure façon d'assouvir un peuple est de supprimer l'école. Nous sommes à Poudlard pour apprendre, ils auront bon nous interdire toutes ses choses futiles, ils ne pourront jamais nous interdire de penser. Aussi longtemps que nous penserons, il restera un espoir en l'avenir... Il y aura toujours de l'espoir, il suffit simplement d'y croire.

Arrête d'être comme ça Lou. Louise fronce les sourcils, tournant son regard noisettes vers Lysander. D'être comment? Triste. Elle n'est pas triste, juste nostalgique et mélancolique. Il n'y a pas si longtemps de cela, elle et Lucy était unie, pour le meilleur et pour le pire, elles étaient deux, toutes les deux, c'était elles contre le reste du monde. Aujourd'hui, Louise a l'impression que Lucy lui échappe, qu'elle la perd, chaque jour un peu plus. Je ne suis pas triste. Oui, c'est ce que je voulais t'entendre dire. Un sourire et le jeune homme lui saisit le poignet, l'obligeant ainsi à se lever. Maladroitement, Louise se lève, non sans avoir manqué de tomber sur ses fesses plutôt que sur ses pieds. Elle se laisse entrainer par le fils Scamander au dehors de la salle commune de leur maison, en direction des cuisine. Une chatouille à la poire et le tour est joué. Voilà Louise, installée sur une table alors que Lysander essaye tant bien que mal de faire quelques chose à manger. La gamine se contente d'une mandarine. Quartier par quartier, elle observe le curieux manège du blondinet.Tu m'aides pas là, se plaint-il, sans pouvoir masquer son sourire lorsqu'il relève le visage vers elle et qu'à la place de ses jolie dents blanches se trouvent un quartier de mandarine. C'est plus marrant de te regarder faire. Elle descend de son perchoir, arpentant la cuisine tout en jouant avec une mèche brune, qu'elle coince de temps à autre entre ses lèvres et son nez. T'imagines qu'avant, c'était plein d'Elfe de maison!? Pour seul réponse, des grognements. Il ne l'écoute qu'à moitié, se tuant à essayer de faire un dessert. Elle fait quelques pas dans la cuisine, encore. Lys, ça te dérange si je vais retrouver Louis, on a un truc à finir pour le cours de potion. T'en as pas marre de travailler? Elle hausse les épaules, recommençant à jouer avec sa mèche. C'est vraie qu'elle travaille dure, mais pour le coup, c'est plus Louis que pour son cours de potion. Lysander soupir, d'un mouvement de la main, il lui fait signe d'y aller. Ni une ni deux, le sourire aux lèvres, elle quitte les cuisines.

Louise débarquait dans la Grande Salle, en retard. C'était tellement habituel de sa part que l'on pouvait presque considérée qu'elle était à l'heure. Elle passait une main dans sa chevelure blonde -Elle profitait des cours de métamorphose pour passer du blond au brun aussi souvent que possible-, se dirigeant naturellement vers Louis. Elle s'installa à ses côté se s'approcha de lui pour lui voler un baiser. cela faisait un peu plus de deux ans qu'ils étaient ensemble, ils se connaissaient par cœur, anticipaient les réactions de l'autre avec aisance. Au début, personne ne les avait pris au sérieux, mais le temps avait passé et il semblait que rien ne puisse jamais les séparé. Louis et Louise était devenu le couple par excellence, le couple de référence, le couple parfait. Très vite, leur amour était devenu une évidence, aux yeux de tous. Ils se complétaient merveilleusement. Sans un mot, Louis poussa une assiette devant elle. Son dessert préféré. Elle se mordit la lèvre inférieur avant de venir enlacer son cou pour l'attirer à elle et l'embrasser, non sans sourire. Elle lui murmura un merci avant de s'armer d'une cuillère pour commencer à manger. Je vais devoir redescendre à la salle commune, je n'arrive plus à mettre la main sur mon... Ton set de Botanique. Louis venait de poser le matériel de botanique de Louise sur la table. Elle sourit, malicieusement, prenant une bouchée de son dessert. Qu'est ce que je ferrais sans toi, hein? Il haussa les épaules, simplement. Elle sourit, venant déposer un nouveau baiser sur ses lèvres avant de reprendre un morceau de Cheese-cake dans sa cuillère. Tu sais que je t'aime, Louis Weasley? Hm... Je crois, oui. Il sourit, la regardant.

Blabla

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