minimavors.tumblr

mom, dad, i'm a wizard.

• • • • • • • • • • •

Parle nous de toi. Parle nous de ton caractère, de ton enfance, de ton adolescence. Énumère nous des anecdotes incroyables tel que l'entrée à Poudlard, la découverte de tes passions, tes amours les plus secrets. La forme de ton histoire est totalement libre. En RP, en journal, tout est permis. Le nombre minimum de mots de votre histoire est de 1000mots ♥ So, good luck !

Chapitre I : « Touch-a touch-a touch-a »

J'ignore comment l'on peut qualifier ma famille, mais à mes yeux, pour être entraîné par celle-ci, j'affirme sans trop hésiter qu'elle peut sans grande difficultés s'approprier des caractéristiques comme « cinglée », « grande » et « téméraire ».

J'ai, en tout et pour tout, un frère et quatre sœurs. Je suis le deuxième enfant de la famille, et pour le coup, le second et dernier de leur fils. Trois de mes quatre sœurs sont à Poudlard, et tandis que mon seul aîné a finit ses études depuis maintenant quelques années, la benjamine des Prewett n'a toujours pas l'âge d'intégrer le célèbre château. En plus de ma fratrie, ma famille s'étend à des branches assez catastrophiques... Comme celle des Holmes. Trois filles, encore une fois. Visiblement, les chromosomes Y se font rares par chez nous. Des trois filles et de toutes les cousines que j'ai, Ran est sans hésitation celle dont je suis le plus proche. Je suis, d'une certaine manière, plus lié à elle qu'avec certaines de mes soeurs. Et tous les étés, celle-ci n'hésite pas à venir squatter la maison jusqu'à mon lit... Dans tous les cas, nous sommes très complices, liés pour le meilleur comme pour le pire et surtout... Aussi déjantés l'un que l'autre.

Mais ce qu'il faut savoir à propos de Ran, c'est que celle-ci est passionnée jusqu'à l'os de Sherlock Holmes. Oui, ce britannique détective et ses enquêtes. Pour ma part, ce qui me branche, c'est davantage les inventions. J'aime créer, surpasser les objets déjà existants. Depuis tout petit je m'amuse à réaliser des babioles aussi décalées les unes que les autres, ce qui prouve aussi bien une certaine intelligence et créativité de ma part comme un penchant assez étrange pour le bizarre. Dans tous les cas, alors que Ran partait à la chasse au mystère, de mon côté, je lui construisais tout son matériel nécessaire. Ce qui pouvait aller de répulsifs de gnomes de jardin jusqu'à identificateur d'empreintes basique.

Ce qu'il faut savoir aussi, c'est qu'on aime assez faire tourner les gens en bourrique... Je suis loin d'être un garçon facile à vivre. Je passe mon temps à faire des farces aux personnes, à m'attirer des ennuis, à être dissipé, à provoquer, à jouer de mon humour assez particulier. En plus de mes réflexions sur mes inventions farfelues, et d'un certain penchant pour l'aventure, avec Ran, ça finissait toujours assez bizarrement... Comme cet été où nous avions rien trouvé de mieux à faire que d'effarer toute notre famille et nous retrouver tous les deux au camps, tant les autres avaient eu peur et étaient retournés, froussards, à la maison. Comme quoi, Ran a lu assez de livres de Sherlock Holmes pour pétrifier le reste de notre famille et que je suis assez doué pour les effets spéciaux... Un duo de choc ? Sans hésiter.

Chapitre II : « Rocky Horror Show »

« Il ne faut jamais sous-estimer un Prewett. »

Voici la règle, les dés sont jetés. Il ne s'agit pas ici de prétention ou fausse modestie, non, absolument pas. Les Prewett qui m'ont précédé ont tous accomplit de grandes choses et fait plus que facilement leurs preuves. Pour ma part, d'une certaine manière, j'ai aussi démontré de quoi j'étais capable, mais j'ai encore une longue route devant moi. On a un peu ça dans le sang. Comme certaines familles sont douées dans les potions ou la métamorphose, nous, on est plutôt des « habiles de la baguette ».

« Lorsqu'un garçon est silencieux, c'est qu'il fait des bêtises. »

Autre vérité flagrante. J'étais « sage », ou, en d'autres mots, je ne mettais pas la pagaille dans la salle commune ou les dortoirs, je n'étais pas en train de guetter les réactions de mes victimes de mes nouvelles blagues, ou je n'affrontais pas un abruti en duel. J'étais sage, là, dans mon dortoir, mon chaudron clandestinement chauffé à ma baguette – oui bon, faut pas trop en demander ! - , une mixture assez moche bouillonnant gaiement dans le récipient. Ezra savait que je préparais un mauvais coup pour « Lulcèria », alias, Miss Black. J'ignorais pourquoi Diggory s'éclatait tellement à vouloir protéger la Serpentard, mais dans tous les cas, bien que j'avais promit à la jeune femme de ne pas continuer dans les cachots ma préparation, je n'avais rien à propos des dortoirs... En d'autre mots, j'étais en parfait droit de continuer l'élaboration de ma prochaine blague. Bon, cela risquerait d'être plus difficile de voir ma farce se réaliser, mais je ne reculais jamais devant un défi. Jamais.

Après une nuit blanche, la bombe était créée. De parfaites bulles baveuses, aux apparences plus que normales. Je les fourrais dans un petit sac en papier brun, et c'est décoiffé, la chemise maladroitement boutonnée mais un large sourire aux lèvres que je sortais des dortoirs, mon bébé reposant dans mon sac.

« Ignatius ! »
« Salut, Mini, bien dormi ? »

Mini, c'est une toute autre histoire. Nous sommes amis depuis un bon moment, et honnêtement, j'imagine mal ma vie sans elle. C'est une relation complètement différente de celle que j'entretiens avec Ezra ou Ran, et je ne voudrais en aucun cas que ce lien qui nous unit se brise. Aucune raison n'en voudrait la peine, de toute façon. Mini coiffe mes cheveux d'une manière plus convenable d'un coup de baguette magique et tandis qu'elle me conseille de refermer ma chemise d'un ton qui relève plus de l'ordre, elle me demande ce qui me rend de si bonne humeur. Inutile de le cacher, elle sait déjà que je prépare un mauvais coup. Quoi exactement ? Je lui laisse la surprise, tout comme la victime, bien que malheureusement pour la Slytherin, elle est une de mes cibles favorites et a donc ainsi essuyé plus d'une de mes farces. Alors que je me rends à la Grande Salle en compagnie de Minerva, je guette l'arrivée de Lulcèria. Elle finit par arriver quelques dizaines de minutes plus tard, s'assit à sa place habituelle, et tandis que je croise que le regard désapprobateur d'Ezra, je souris d'un air sadique, revenant à mon jus de citrouille. Ce n'est que vingt minutes plus tard que la jeune Black se décide à sortir de la Grande Salle, et c'est en un temps trois mouvements que je l'intercepte juste devant la porte menant aux cachots austères.

« Qu'est-ce que tu veux ? »
« Oh, tu as raison, pourquoi dire « bonjour », c'est tellement vieux-jeu ! »

Je souris d'un air charmeur, plantant mes yeux dans les émeraudes de mon interlocutrice. Oui, je suis un bon comédien. Ou plutôt, je n'ai pas besoin de vraiment me forcer à contempler Emrys : elle est sublime, de A à Z. Quoi qu'il en soit, on est au travail, par ici. Je dois lui donner ces somptueuses bulles baveuses. Mais avant, la jeune femme préfère me gifler violemment. Sale gosse. Elles ne savent plus se comporter de nos jours, ces vierges effarouchées. Ni une ni deux, je riposte par la parole, et une acide dispute survient, que j'achève par un baiser tout en l'attirant contre le mur de pierres froides, feintant mes mains dans son sac pour y subtiliser le sac de friandises préférées de l'adolescente contre celui que j'avais concocté rien que pour elle. Comme quoi, c'était tout bénef. Cependant, j'ai à peine le temps de profiter du baiser qu'Emrys me repousse et me gifle de nouveau – cette fois-ci à trois reprises, le tout agrémenté d'insultes – et repart sans demander son reste.

Deux heures plus tard, elle apparaîtra les cheveux mauve phosphorescent et fluorescent, sa couleur détestée par-dessus tout. La gourmandise n'est-elle pas un péché, après tout ?

Chapitre III : « I can't stop that feeling »

Un jour, mon père m'a dit qu'on ne sait jamais qui l'on a rencontré. Qu'on apprend qui cette personne se trouve être chaque jour, même s'il s'avère que cette personne est votre âme sœur. Même si vous voyez cette personne chaque jour, si vous vivez avec, s'il s'agissait de votre frère, de votre sœur, de votre géniteur. Vous ne connaitrez jamais cette personne, c'est indéniable. On ne peut cerner une personnalité totalement, on ne peut assimiler tous les traits d'un même individu, car jamais cet individu sera le même. Toujours, cela changera, et vous changerez également. Au final, vous créez une galaxie de chiffres et statistiques immenses au sein de la moindre petite relation que vous entretenez. Et jamais, ô grand jamais, vous imaginerez que cette fille, là-bas, sous le Sorting Hat et au prénom bizarre, vous fera tourner en bourrique. Jamais vous n'imaginerez qu'un jour, peut-être, vous éprouverez plus que du mépris pour elle. Jamais, ô grand jamais, vous voudrez vous approcher d'elle pour lui infliger autre chose qu'une sauvage moquerie.

« Ha, désolé, « Lulceria », ça n'sera pas pour cette fois. Encore. »

Tout s'était joué au millième de seconde pour lui dérober la dernière suçacide du chariot du Hogwarts Express. Notre relation était malsaine, il fallait se l'avouer. On se cherchait dangereusement, et nos deux tempéraments invoquaient des tourments des plus féroces. Les gens craignaient ou se lassaient vite de nos altercations, car il n'en résultait jamais rien de bon. Cependant, d'une certaine manière, bien que nous nous brûlions toujours les ailes avec nos jeux sauvages, l'on ne pouvait le stopper. Telle une dépendance, une maladie incurable, nous étions atteints jusqu'à la moelle. Son venin coulait dans mes veines et faisait palper mon cœur plus intensément à chaque fois que je la voyais. Le désir de la provoquer et voir cette étincelle mauvaise dans ses yeux me faisaient vivre, et je sentais mon sang bouillir à mesure des secondes que je passais à côté de ce volcan, tandis que les papillons agités dans mon estomac s'alliaient à la guerre de ces émotions et réactions. Elle riposte, et tandis que je l'empêche de me subtiliser la dernière friandise, je la regarde, les yeux rieurs, une expression cruellement ravie et faussement sérieuse sur le visage.

« Oh, tu as raison, je suis un très mauvais garçon. Je ne suis en aucun cas « désolé ». Quel menteur je fais ! »

Je haussais les sourcils dans une invitation au défi. Voilà que nous étions à peine rentrés à Hogwarts pour la nouvelle année que la guerre reprenait...Exactement là où on l'avait laissée. Exactement là où on la laissait chaque année depuis son tout premier bombardement : notre premier jour dans l'école de sorcellerie.

SAMUEEEEEEEEEEEEEEEEEEEEEEEEEEEEEEEEEEEEEL!
(voilà, c'est tout ce que j'ai à dire. merveilleux, non? (a) Même si tu le savais déjà.. J'ai l'impression de retrouver ma Galette favorite)
Enfin bref, tout ça pour te dire WELCOOOOME sur notre petit bébé forum & évidemment, GOOD LUCK pour ta fichounette

Haaaan. Je l'aime bien, mon frère. T'as de la chance. *out*

L. Emrys Black a écrit:

C'est qu'elle vole autour de mes hommes la petite Crabbe

You might belong in Gryffindor,
Where dwell the brave at heart,
Their daring, nerve, and chivalry
Set Gryffindors apart;

aujourd'hui, cher élève, tu es dès à présent validé par l'équipe de sneakoscope et The Sorting Hat lui même. à présent que ta fiche a été approuvée, file faire tes demandes de liens aux nombreux membres du forum, ainsi que la liste de tes futurs rp avec des magnifiques codes html. n'oublie pas les demandes. je suis certain que tu aimerais faire parti de l'équipe de quidditch ou même de l'équipe de préfets parfaits qui font régner l'ordre. enfin, nous te souhaitons tous une agréable journée parmi nous et va donc rp petit flemmard qui traine dans le flood ;D - car on fait tout cela -